Clinique d'expertise juridique et social

PERMANENCES AU CADJE

PERMANENCES AU CADJE

Dans le cadre de sa mission d’accompagnement juridique et judiciaire de la population, et ayant une attention particulière pour la protection et la promotion des droits de l’enfant, la Clinique d’Expertise Juridique et Sociale (CEJUS) effectue des permanences au Centre d’Accès au Droit et à la Justice pour Enfant (CADJE).
Ainsi, dans la perspective de dynamiser lesdites permanences, des sensibilisations ont été faites en amont pour parler du CADJE, donner de plus ample explications sur son rôle.
L’objectif de ces permanences est de faire de l’information juridique et de donner des orientations. Pour ce faire, l’une des tâches des cliniciens est de faire des sensibilisations, l’autre est d’assister aux auditions.
Les sensibilisations
Au sein du CADJE, la clinique dispose de deux endroits pour les permanences. Les Kiosques et le bureau de l’assistance juridique. L’idée derrière les sensibilisations est de donner des informations et de l’orientation en matière juridique et judiciaire. Les sensibilisations ont donc consisté en premier lieu à parler de la CEJUS en donnant les informations générales telles que sa vision, sa mission, ses domaines d’interventions. En second lieu, les sensibilisations ont eu pour objectif de donner les informations nécessaires sur la responsabilité pénale de l’enfant. Les sensibilisations ce sont basées sur les fiches pratiques. . Les fiches pratiques sont des documents qui expliquent en français facile un aspect donné du droit.
Les auditions
Au-delà des sensibilisations, les équipes de la CEJUS chargées de faire les permanences ont également suivi les auditions des enfants. L’objectif c’était d’avoir des connaissances sur la procédure depuis la prise de connaissance de l’affaire par le CADJE jusqu’à son aboutissement.
La clinique a eu à assister à une douzaine d’auditions.

Sommes toute, les permanences de la CEJUS au Centre d’Accès au Droit et à la Justice pour Enfant se déroulent dans de bonne conditions. Le constat malheureux fait est le manque d’information notable de la population en manière de responsabilité pénale du mineur. Des actions doivent donc être entreprises pour améliorer cette situation.

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